Culture /
L’insouciance selon Jollien est un boulot de galérien
Physiquement «empêché» de naissance, empêtré dans son corps et sachant même la dégradation de sa santé en voie d’aggravation, celui qui s’est fait connaître par un mémorable «Eloge de la faiblesse» n’en finit pas, dans ses «Cahiers d’insouciance», de parier pour la joie personnelle, d’une part, et pour la solidarité sociale à plus grande échelle, d’autre part, non sans contradictions (sympathiques!) à chaque page de son vade mecum de survie en milieu multiviral où sévit, plus que jamais, le bacille têtu de la Bêtise...
Jean-Louis Kuffer