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Chronique / Sureau l’indocile
S’il est un qualificatif repris du mot d’ordre de Bon pour la tête qui s’applique particulièrement à François Sureau, c’est bien celui d’indocile. Voilà un écrivain hors les modes, sinon hors du temps, encore que pleinement engagé dans notre époque. Qui naguère, aurait pu être rangé parmi les Hussards, n’était son admiration pour Sartre. Car François Sureau, officier, avocat et maintenant académicien, n’est pas à un paradoxe près. Et surtout, ce qui n’est nullement contradictoire, écrivain farouchement attaché à la liberté. Sans laquelle, selon le mot de Chateaubriand qu’il fait sien, «il n’y a rien dans le monde.» Lire la suite...
Raphaël Aubert, écrivain
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