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Chronique / «Les morts ne parlent pas, parlons pour eux»
Durant la fin du Moyen-Age et au début de la Renaissance, la «danse avec la mort» est un motif récurrent chez de nombreux artistes. Elle figure sur les murs des églises, mais aussi en gravures, ce qui contribue à rendre le sujet populaire. Et puis, l’esprit du temps se modifiant, une forme d’optimisme prenant le dessus, ce que traduit parfaitement l’invention de la perspective avec son ouverture sur les lointains, les «danses macabres» quittent les chevalets. Mais le sujet ne disparaît pas pour autant. On le retrouve plus tard chez Baudelaire, Saint-Saëns, Pratt et, très récemment, dans un ouvrage de Céline Cerny et Line Marquis qui vient tout juste de paraître. Lire la suite...
Raphaël Aubert, écrivain
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