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Actuel / Liberté, j'écris ton nom (sur Facebook)
L’humanité a connu d’autres drames que celui de la suppression d’un compte Facebook, fût-elle arbitraire. La mise en demeure du troisième site web le plus visité au monde par un avocat exaspéré de constater son profil désactivé «sans aucun avertissement ni aucune explication», comme bien d'autres, pour des contenus trop osés (comprendre: un tableau ou une photographie de nu), parce qu'inactifs ou pour d'imprécises raisons politiques, a pourtant provoqué un frémissement de sympathie auprès des utilisateurs de ce réseau et un appui médiatique. C’est que l’enjeu du bras de fer engagé est plus important qu’il n'y paraît de prime abord. Les protestations montent de tous côtés. Lire la suite...
Paulina Dalmayer
B
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