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L’autocritique des laboratoires médiatiques n’a pas lieu
Naguère ils ricanaient, désormais ils refusent de reconnaître qu’ils s’étaient trompés. Beaucoup de nos médias mainstream – comprenons par là ceux qui suivent l’opinion dominante en toutes circonstances, que ce soit dans le choix des sujets comme dans le traitement qu’ils en font – avaient balayé d’emblée l’hypothèse d’une fuite de laboratoire comme origine du SARS-CoV-2 quand l’idée était défendue en 2020. La raison? Cette thèse était portée par des instances jugées infréquentables. Aujourd’hui, il est à nouveau permis de considérer cette piste comme crédible. Selon le monde scientifique, elle est même de plus en plus probable. Or, comme souvent, le mea culpa médiatique n’a pas lieu.
Jonas Follonier