Média indocile – nouvelle formule

Chronique


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Spartiates, Communards, anarchistes, Gilets Jaunes, «complotistes»... de tout temps, les plus grands ont tout fait pour désacraliser les combats pour la liberté. Big-Up à Léonidas, Toussaint Louverture, Olympe de Gouges, Sitting Bull, Rosa Parks, Louise Michel et aux nombreux autres combattants de la liberté, connus et inconnus.



Tout simplement parce qu’en 2021... 

J’ai l’impression que beaucoup ont oublié qu’avant le covid, on tombait malade, parfois durement, et que l’humain était mortel. 

Je me souviens il y a une quinzaine d’années je suis tombée gravement malade. Une forte grippe m’a clouée au lit pendant plus d’une semaine. J’ai traîné avant de me décider à appeler le médecin. Je me «soignais» avec du Doliprane et des grogs.

Le médecin est venu chez moi à 20 heures 30 pétantes, je vous parle d’un temps où les médecins avaient encore la capacité de se déplacer chez leurs patients. 

J’ai eu droit à quelques remontrances de la part de mon médecin, il m’a dit que la maladie prise plus tôt, je n’aurais pas tant galéré… il m’a donné un traitement à base d’antibiotiques, et au bout de deux jours, j’étais complètement guérie, mais avec quelques séquelles. 

Pendant quelques années j’ai été victimes de bronchites à répétition… c’est de ma faute, je n’avais qu’à appeler le médecin avant…

Pourquoi je vous raconte ça? 

Tout simplement parce qu’en 2021, on m’aurait étiquetée «covid long», et j’aurais gonflé les statistiques.

Tout simplement parce qu’en 2021, les médecins n’ont plus la capacité de soigner leurs patients. Ils sont muselés, et sont obligés de suivre les directives du «ministre de la santé». 

Tout simplement parce qu’en 2021, les gens malades ne sont plus soignés. De ce fait, les plus fragiles arrivant au point de non-retour, lorsque, ne pouvant plus respirer, doivent se rendre aux urgences, meurent… ils ne meurent pas à cause de la maladie…Ils meurent, faute de soins, faute de traitements… si les malades avaient reçu le traitement adéquat, au bon moment, certainement, seraient-ils encore là aujourd’hui.

Tout simplement parce qu’en 2021, les autorités assument d’avoir rendu légale la non-assistance à personne en danger.

Petit flash-back…

En 2020, plus de 5'700 lits d’hospitalisation, en France, ont été fermés (Le Monde).«Entre 2003 et 2018, le nombre de lits d’hospitalisation à temps complet installés, tous établissements, toutes disciplines et tous secteurs confondus, est passé de 468 000 à 396 000». (drees.solidarité-sante.gouv.fr).

Et ça ferme, deci, delà, et ensuite le pays ne peut plus gérer les épidémies et décide de reporter la faute sur la population…

Depuis des années, les hôpitaux sont surchargés, à cause de diverses épidémies.

Avant l’arrivée du covid, on parlait de «grippe dangereuse» (08/01/2017 – solidarite-santé.gouv.fr) 

  • En 2015, France info intitulait un article «cette épidémie de grippe est plus importante que ces cinq dernières années», grippe saisonnière qui touchait plus de 2,5 millions de personnes depuis le début de l’hiver. 
  • Le 20/03/2013; Le Figaro Santé titrait «Durée record pour l’épidémie de grippe» en développant que «cela fait déjà 13 semaines que le virus circule à haute fréquence parmi la population française, faisant 3,5 millions de malades». 
  • Le 28/11/2001, Les Echos titrait «L’Europe reste sous la menace d’une pandémie majeure de grippe»

Etc. etc. je mets de côté les épidémies de gastro et la grippe aviaire. 

Depuis l’arrivée de notre Covid, je n’ai pas entendu parler de la grippe… comme si cette dernière avait complètement disparu des radars. Mais les lits d’hôpitaux, eux, continuent de fermer.

Bloquez donc deux voies de circulation sur l’autoroute, laissez seulement les automobilistes rouler sur la voie des véhicules lents, et dites-moi, si très rapidement, il n’y aura pas un bouchon phénoménal...

Aujourd’hui, comme hier, je remets tout en question. Même si, entre nous, la réflexion et la pensée ne sont plus à la mode.

Ce qui me tarabuste c’est la docilité du peuple français. Je n’aurais jamais pensé qu’on se laisse aussi facilement endoctriner, embobiner, endormir…

Ça fait des années que les «Grands» nous endorment. Les «Grands» savent qu’un peuple «bête» ou «endormi» est plus facilement manipulable. De ce fait, les «Grands» dirigeants ont mis en place mille stratagèmes pour endormir le peuple, ou plutôt devrais-je dire «l’abêtir»…

Comment abêtir un peuple? 

Panem et circenses. Rien de plus simple.

Le peuple consomme. Le peuple se divertit. Le peuple se marre en s’asseyant sur un coussin péteur. Le peuple se gave de télé-réalité. Le peuple ne veut pas faire de comparaisons entre aujourd’hui et l’époque d’Hitler, car on a dit au peuple, que ces comparaisons-là, n’étaient pas à faire, car parler de dictature, d’Hitler c’est tabou…mais où est donc la liberté d’expression? Dans notre cul, c’est certains.

Triste constatation, beaucoup de gamins ne rêvent plus de devenir médecins, pompiers, professeurs, non, ils rêvent d’être stars de la télé-réalité, youtubeurs ou influenceurs. Faut vivre avec son temps… A quoi bon user ses fonds de culotte sur les bancs des écoles, alors qu’avec une connexion internet, un ordi ou son téléphone, un compte Insta, Tiktok, Youtube, quelques gags, un tuto make-up, un challenge débile, le tour est joué… Bref, la bêtise aujourd’hui fait gagner de l’argent.

On devient de plus en plus cons, et nos gosses les premiers… tu m’étonnes John! 

Une enquête du Centre National d’Études des Systèmes Scolaires (CNESCO) témoigne d’une baisse non négligeable du niveau de français des élèves de primaires et des écoles supérieures. Si encore il n’y avait que le français. Ça vous étonne? Pas moi. 

Le certificat d’étude que ma mère a obtenu dans les années 60, doit, sans nul doute, être l’équivalent aujourd’hui, d’une troisième année de licence, j’ironise…si peu.  

La crise qui nous défrise n’a pas fait évoluer le cerveau de nos rejetons, ni leur bien-être, au contraire. 

Le nombre record d’hospitalisations en pédopsy, et les alertes sérieuses sur les retards d’apprentissages se multiplient. Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, lors de son intervention sur Sud Radio en décembre 2021, disait et je cite «plus de 25 % des admissions en pédiatrie sont de la pédopsychiatrie. Les psy libéraux sont submergés par les troubles anxieux, les tocs, les difficultés d’apprentissage des enfants, liés directement à ce qui se passe dans les écoles.».

Ajoutons une deuxième information importante. Une récente étude américaine affirme que les enfants nés pendant la pandémie, auraient des performances motrices, verbales et cognitives plus faibles que ceux nés avant la pandémie (Parents.fr le 15/08/2021)

Et enfin, notons un dernier point, pour conclure avec cette partie, la crise a accentué les dépressions, et les suicides.  Le suicide est la seconde cause de mortalité chez les jeunes…les jeunes sont au bout du rouleau et pour cause. Ils ne peuvent plus sortir comme leurs parents ont pu le faire pendant leurs jeunes années, ils ne peuvent plus se retrouver, s’enlacer, s’embrasser, se réunir, comme leurs parents ont pu le faire dans leurs jeunes années. Et enfin, ces pauvres gosses sont contraints, bien souvent, de se taper les actualités mensongères du journal télévisé, (le journal de la vérité pour certains), pendant le repas du soir, près de leurs parents hypnotisés par les informations anxiogènes…

Cependant, j’espère que les parents lutteront pour protéger leurs gosses et ne porteront pas leurs enfants aux centres de vaccination comme on porte les bovins à l’abattoir.

Parlons maintenant culture, littérature et nourriture de l’esprit. 

Hier, l’Elysée mettait en avant la culture et la littérature, aujourd’hui, Manu invite des youtubeurs et s’amuse à leur lancer des défis. Marlène, quant à elle, pendant que le peuple est muselé et contraint de respecter les distances de sécurité,  chante et danse avec une poignée d’influenceuses… faut vivre avec son temps, me direz-vous…

En ce qui concerne Manu et les youtubeurs, le but est simple, toucher le plus grand nombre de jeunes et les pousser à respecter les gestes barrières, ou plutôt, la restriction des libertés… «why not» comme disent les «djeuns».

En ce qui concerne «Oh Marlène, les cœurs saignent», cette dernière a invité à sa «table» avec l’argent du contribuable, ces quelques demoiselles, jeunes, fraiches, pimpantes, extravagante, dandines, ingénues, les synonymes ne manquent pas… Ensemble, elles ont pu «discuter» des maltraitances envers les femmes, portable à la main, en direct sur tous les canaux virtuels. Pour «Magali», agent de personnalité de télé-réalité (difficile de le dire très vite…), une façon efficace d’essayer de nettoyer la mauvaise image que peut avoir ladite télé-réalité (viol, racket, violence envers les femmes) … et pour Marlène, une façon d’augmenter son nombre de followers et de toucher le max de jeunes possible… mais ça n’a pas fonctionné. 

«L’ultra masculinité» des candidats transpire visiblement en dehors de l’écran, entachant les esprits de notre jeunesse en proie au Metaverse.

Mais jusqu’ici…Tout va bien…

La dissonance cognitive, autrefois source de tensions, devient le concept rassurant car validé par le programme…euh…non…la «vision» présidentielle.  

Les politiciens, hier, se débattaient sur les chaînes publiques pour mettre en avant leur programme présidentiel (ils en avaient un à l’époque). Ils partaient en campagne, essayaient de se démarquer, que le meilleur gagne.

Aujourd’hui, les politiciens se clashent sur les réseaux sociaux, font appel à des youtubeurs afin d’être mis en avant sur leurs chaînes et leurs réseaux sociaux, font de courtes vidéos sur tiktok, histoire d’être «cool», et invitent des influenceurs au Palais. La communication ne passe plus par la télévision, elle passe par les réseaux sociaux… Les politiciens ne mettent plus en avant un  programme pour «guider» la France vers des jours meilleurs… Non, ça sert à rien, ils s’en branlent de tout ça les politiciens. Rappelons-nous, en décembre 2016, ce que disait Emmanuel Macron, alors candidat aux présidentielles, sur RTL «Pardon de vous le dire, un programme avec 300 mesures, ça n’a aucun sens, (…) on se fout des programmes, ce qui importe c’est la vision»

Mais quel est donc l’intérêt des «Grands» à abrutir ainsi le peuple? 

Revenons deux minutes sur la «maladie-de-la-mort-qui-tue»…

Je me suis demandé pourquoi tant de monde autour de moi, cédait sans se battre et sans voir que nos libertés petit à petit était supprimées.

La servitude du peuple ne date pas d’hier. 

Le peuple, craignant de perdre ce qu’il a toujours connu, à savoir consommation à outrance, distraction, pains et jeux, est prêt à tout, même à ramper, les genoux en lambeaux, même à vendre les siens, même à se faire injecter je ne sais quel produit dans les veines, tout ça sans même prendre le temps de réfléchir et encore moins de se rebeller… 

Depuis le début de la mise en place du passe, j’ai refusé de me soumettre, et j’ai été surprise, lorsque j’ai refusé plusieurs invitations à des soirées, d’entendre comme argument face à mon refus «il faut bien vivre… viens… ça ne coûte rien, un test ou une piqûre», mais je vis très bien… 

Pour moi la liberté et la vie ne sont pas synonymes d’esclavagisme, de lois liberticides, et il est hors de question que je me soumette à ce système qui me débecte. Je ne me vois pas du tout exhiber fièrement un passe de la honte pour aller boire un café, aller au resto, dans un parc d’attraction, applaudir Obispo en concert… ou autre.

Hors de question! Que chacun fasse ce qu’il lui plait, plait, plait, mais sans obligation…et surtout qu’ils me foutent la paix…

L’intérêt là-dedans?

Les «Grands» éduquent et surtout effraient le peuple, une façon de bien le maintenir sous leur emprise … A force d’infantiliser les gens, ils ont réussi à en faire ce qu’ils veulent. 

Du coup, lorsque les Grands menacent les «citoyens» de leur supprimer leurs divertissements, leurs distractions, voire même leur boulot, au lieu de se rebeller et de dire non, les gens baissent la tête, tendent le bras, et se soumettent, tels des enfants à qui l’on promet de lui sucrer sa console s’il ne mange pas sa soupe.

J’ai remarqué également, que plus la ville est grande, plus l’abrutissement est présent. Dans les campagnes les gens sont bien plus éveillés, certainement parce qu’il y a moins de moyens de pression et de chantage. Dans nos campagnes on n’a pas de théâtre, de ni grands cinés, ni de bar branchés, non, M’sieurs Dames, nous, on est «hâchement» plus civilisés, dans nos campagnes…car nous, on sait prendre soin de notre prochain, on l’écoute, on veille sur lui et aussi parce qu’on a la chance d’avoir Marcel le bistrotier, qui s’en tamponne le coquillard du chantage gouvernemental, et qu’on peut toujours aller chez lui, s’en jeter un derrière la cravate… 

Bref, l’intérêt des «tyrans» à abrutir le peuple, c’est pour mieux le contrôler. Divisier pour mieux régner!

Le peuple victime de manipulation mentale, psychologique, aveuglé par la peur, les chantages en puissance, ne parvient plus à penser. La tête lourde, le cerveau pollué d’informations anxiogènes est complètement désorienté. Ne sachant plus aller, ne sachant plus à qui faire confiance, le peuple ne sait plus ni où il doit aller… ni ce qu’il doit faire, alors il fait n’importe quoi. 

Quels sont les outils à la portée des «Grands»? 

Les médias de propagande… 

Certains doivent maintenant être convaincus que je suis «complotiste»… soit… j’aime bien ce mot «complotiste», je m’y suis faite. Certainement en résistance à cette dictature du doute… 

Parenthèse, en parlant complotisme … j’ai remarqué que ce mot est lâché, en général, lors d’une conversation plus souvent virtuelle que réelle, et sur quelques plateaux télé, par des gens en panne d’inspiration et d’arguments contraires. J’ai pu remarquer que celui qu’on nomme «complotiste», c’est celui qui pense différemment, qui se pose des questions, qui cherche, et qui ne veut pas se soumettre à un système qui ne lui correspond en rien. En somme, un être pensant et à la recherche du bonheur par la vérité. Nous devrions tous être «complotistes», sur la base de cette définition. Fin de la parenthèse.

Je me suis égarée.

 Revenons aux médias…

Les médias français, de ceux que je nommerai «mainstream», sont complices de cette manipulation de masse…et pour cause, ils sont tous sous le joug du «mange peuple». Payés grassement par les «grands», ils ont le devoir de propagande, et d’enfermer le peuple dans une capsule de peur. 

Les journalistes relayent les dépêches de l’AFP sans prendre le temps de s’informer correctement. 

Je ne sais pas si vous avez remarqué, mais les titres de tous les journaux sont les mêmes, il devrait y en avoir qu’un seul, qui se nommerait «La Vérité, seulement la Vérité, un peu arrangée, mais la vérité quand même, si, si, c’est vrai», un peu long comme titre, mais il faut bien ça, car les gens, de toute façon, ne lisent que les GROS titres. Lire les articles en entier? Mais pourquoi faire? Ils ont d’autres choses à faire, les gens, il faut qu’ils aillent exhiber leur passe de la honte au bistro du coin pour boire un kawa, ou regarder, le cul posé sur le canapé, les dernières actualités des aventuriers menteurs et tricheurs de Koh-lanta.

Les médias décrédibilisent les manifestants en quête de liberté, ils décrédibilisent les médecins, professeurs, scientifiques qui vont à l’encontre de la pensée unique. Entre nous, je ne vois pas pourquoi ils seraient moins crédibles que ceux invités sur les plateaux télé, certainement parce qu’ils n’ont aucun conflit d’intérêt. 

Bref, rappelons donc qu’en 2020 les médias français ont reçu 666 millions d’aides de l’état, ils sont drôles les gouvernants.  

Le Monde a reçu en 2019, 1,9 millions d’euros de la part de la fondation Gates, il est gentil ce Bill… Comment ne pas s’apercevoir que l’argent injecté permet le contrôle? 

Même mes parents dans leur inconditionnelle bienveillance, quand ils me donnaient de l’argent de poche, attendaient de moi que je sois serviable en retour, tout cela pour mon bien, évidemment…

Terminons sur un dernier point, et pas des moindres… la liberté… 

La liberté «écrite» sur tous supports réels ou imaginaires par Paul Eluard, 

La Liberté hurlait par Louise Michel, ou encore 

La Liberté que chantait Georges Moustaki… (et j’en passe) 

Pour ceux qui y ont vraiment goûté et qui savent réellement ce que c’est, je sais aujourd’hui qu’ils ne baisseront jamais les bras, et qu’ils continueront à se battre jusqu’au bout pour la préserver ou plutôt la reconquérir.

La liberté, ce n’est pas céder à un chantage malsain en se faisant injecter n’importe quoi dans les veines, (injection contre le droit d’aller se divertir, ou travailler) quand on voit, en plus le résultat…

J’ai dans la tête le «et un, et deux, et trois, zéro» que certains hurlaient en 1998… et c’est pas fini, ils annoncent «et cinq, et six, et trois à vie»… car si nous continuons à tout accepter, que vont-ils nous imposer demain? Y avons-nous seulement pensé une seule seconde? 

Liberté, liberté chérie…

La liberté commence là où l’ignorance finit… écrivait Victor Hugo. 

Malheureusement, pour certains, le prix de la liberté c’est l’esclavagisme, c’est se soumettre pour avoir une «sensation» de droit légitime, alors que tous les droits sont abolis au compte-goutte.

2021… Retour de l’apartheid. Les «Grands» ont réussi à scinder la population en deux; ceux, qui s’étant soumis, ont «droit» à presque «tout», quand les autres, «citoyens de seconde zone», complotistes en puissance, doivent rester à résidence. Peu importe, grâce à ça, je cuisine encore mieux qu’avant. 

Les «Grands» ont réussi à faire en sorte que le peuple s’auto-cannibalise, tel l’élaphe qui, après avoir ingéré la moitié de son corps, meurt étouffé. Cette fin atroce arrivera-t-elle au «peuple»? 

Donc, voilà où nous en sommes à force de céder à leur chantage. 

Quelle limite se donnera le peuple? Quelles seront les bornes à ne pas franchir? A chacun d’y réfléchir…

Entre nous, il suffirait, pourtant de pas grand-chose pour faire tomber les «grands». Je ne dis pas qu’il faille prendre les armes, je ne dis pas qu’il faille monter des barricades, je ne dis pas qu’il faut se mettre à hurler «aux armes citoyens», nos ancêtres s’en sont occupés. 

Notre bon «roi, Mange-Peuple» l’a dit «nous sommes en guerre», oui, mais pas une guerre contre une pandémie, il s’agit là d’une guerre supplémentaire pour soumettre le peuple et en faire ce qu’il veut. Lui et la majorité des autres dirigeants européens.

Vous avez à cœur de protéger votre santé? Refusez de rendre légale la non-assistance à personne en danger.

Nous sommes en guerre oui, mais pas une guerre avec pistolets, fusils, révolvers, chars, grenades, bombardiers, etc. Il s’agit d’une guerre psychologique, d’une guerre d’informations…  De ce fait, jouons avec les moyens du bord.

Pour affaiblir la tyrannie,

  • Commençons donc par un acte très simple, coupons la télévision… du moins les actualités, car ça ne nous empêche pas de nous marrer devant un bon film style «Les bronzés font du ski», c’est la période… divertissons-nous, la tête pleine, ne nous divertissons pas pour la vider, mais bien pour un peu «décompresser»… 
  • Continuons par un acte, certes, un peu moins facile, refusons en bloc, toutes les restrictions de nos libertés, 
  • Que les restaurants et boites de nuits, théâtre et parcs d’attraction, bars et tous les lieux de distractions, ne contrôlent plus aucun passe sanitaire, et que gentiment, clients et patrons s’unissent pour expliquer «à la police de la pensée», qui passe deux par deux pour vérifier des QR code, qu’ils ne veulent pas d’eux. Ça a fonctionné en Savoie me semble-t-il.
  • Il suffirait qu’on se mette d’accord sur des dates, et qu'ensemble sur une courte période, nous n’allions plus durant quelques jours, ni travailler, ni consommer... 
  • Il suffirait de retirer notre argent des banques, et comme nous n’avons plus le droit de disposer de notre compte en banque comme on le voudrait, il suffirait donc de retirer le maximum autorisé toutes les semaines. Pour ma part ça ira très vite… 

«Facile à dire», allez-vous me dire… je n’ai jamais dit que la reconquête de nos libertés serait simple…

La solution, elle est dans l’union. 

En tout temps, les droits acquis l’ont été grâce à une poignée de résistants. 

J’ai foi en l’humanité. J’ai foi au peuple, J’ai foi en nous…

Ensemble disons non à la tyrannie et en quelques jours, je le parie, tout sera enfin terminé. Alors non, nous ne retrouverons plus jamais le monde d’avant, et c’est tant mieux…le monde de demain sera composé de partisans éveillés… 

Allons peuple, réveillons-nous, étirons-nous, baillons un bon coup, LEVONS-NOUS et fonçons…


Notes

Pfizer  est une entreprise multirécidiviste. Une entreprise qui vous veut plus de mal que de bien. Pensez-y… Condamnations: 

2006: amende de 60 millions de dollars pour la corruption de médecins et de représentants du gouvernement, afin d’accroître ses affaires et ses ventes, 

2007: le gouvernement nigérien porte plainte contre Pfizer l’accusant d’avoir provoqué en 1996 la mort de 11 enfants sur 200. Lors de tests de médicaments contre la méningite effectués en 1996.

2009: amende de 2,3 milliards de dollars aux autorités américaines. La société est accusée d’avoir fait la promotion abusive de certains médicaments. 

2021: Etats-Unis: les données du vaccin de Pfizer disponibles dans 75 ans… (j’serai déjà morte)

Quant à Moderna, la Finlande, la Suède, la Norvège, le Danemark ont annoncé la suspension du vaccin chez les jeunes hommes en raison de risques de myocardites. (sources LCI)

A lire ou relire: Discours sur la servitude volontaire, Etienne de la Boétie.

Et écoutons en boucle le chant des partisans, en attendant un autre hymne composé de nos jours.  

VOS RÉACTIONS SUR LE SUJET

16 Commentaires

@Apitoyou 24.12.2021 | 07h37

«Action égale réaction ! Premier principe de réalité terrestre. Et sauf distorsion improbable, le plus fort gagne.
La gueule ouverte ça permet de le dire mais aussi de respirer.»


@Tom Gonthier 24.12.2021 | 08h41

«Un grand merci pour ce coup de gueule salutaire ! Ici, à Genève, de même. Non-"vacciné", pas de pass, à la campagne, pas de télé, une tonne colossale de livres, du sport régulièrement dans un club de résistants, tout va bien. C'est même mieux qu'avant.»


@Symphonie 24.12.2021 | 09h22

«L’esprit critique et méthodologique doit rester rationnel, il est dangereux de raconter n’importe quoi en boucle. L’addition de frustrations et de contre vérités avec des éléments critiques nécessaires ne fait pas une théorie à partir de laquelle il est possible d’agir (avec des arguments rationnels). Cette logorrhée n’a rien à faire dans un journal qui se flatte d’une intelligence qu’on a généralement du plaisir à partager chaque semaine. BPT devient ici consciemment l’antichambre d’échos complotistes, enrobés d’une navrante légende de résistance, une honteuse référence a toutes celles et tous ceux qui ont lutté ou se battent encore contre de vrais dictatures. Ces propos sont indécents,. Merci de garder une certaine hauteur au débat, plus que jamais nécessaire, ce qui je crois est le but affirmé de BPT.»


@NJ 24.12.2021 | 09h45

«Ah comme il est rassurant de savoir qu’on a raison seule contre tous. Qu’on détient la vérité !»


@marcello 24.12.2021 | 10h51

«Wouah. Merci pour ce coup de gueule.
Pour ma part j'essaye de rester serein, mais pas évident.
Seul les vaccins ARN -Américain sont homologués et pourquoi pas les autres ?

Ma devise : touche pas à mon corps, c'est moi qui décide. Cela fonctionne bien depuis des années et se soigner différemment m'est profitable.

votre article est une belle réflexion pendant ces fêtes.»


@eberose 24.12.2021 | 12h23

«Merci!!!!!!
»


@GFTH68 24.12.2021 | 19h39

«Manu a donc une vision (ou des visions?). Moi, en tout cas, je me demande parfois où l'on va comme cela... »


@clm 24.12.2021 | 20h01

«❣️»


@leti 24.12.2021 | 21h53

«Merci, cela me fait du bien de vous lire. Au plaisir d'un magnifique repas en votre compagnie (vu que vous cuisinez de mieux en mieux). Et bientôt de nouveau dans la rue pour une prochaine manifestation. Je suis comme vous, je ne cèderai pas»


@BrigitteFAYET 25.12.2021 | 11h03

«Pour moi, la vraie liberté, c'est de choisir si je me vaccine ou pas.
Et de pouvoir en parler - ou parler d'autres choses - en respectant mon interlocuteur.trice.
A chacun d'assumer non seulement sa situation personnelle et ses droits, mais également sa situation sociale et ses devoirs vis-a-vis des autres : nous ne sommes pas que des individu.e.s, mais des membres de la société.
Arrêtons de théoriser pour exclure la partie de la société qui ne pense pas comme nous.»


@Lucie Faure 26.12.2021 | 08h47

«Qu’est-ce que c’est que ce charabia émaillé de fautes d’orthographe et de syntaxe ? Qu’est-ce que c’est que ce fous-y-tout qui mélange allègrement des notions philosophiques mal digérées ? L’auteur critique, à juste titre, le niveau actuel de l’instruction des jeunes. Son niveau à elle n’est malheureusement guère supérieur.
Désolant.»


@laboudu 28.12.2021 | 21h43

«Cet article est mal écrit : propos en désordre, style conventionnel et vulgaire, sujets à tout va.... Aucune construction dans la présentation des sujets, critiques gratuites, propositions bancales, etc. J'aspire à un monde meilleur que celui que nous propose cette dame.
"Bon pour la tête" ? - Ah ! non, pas cet article-là !
Claude Bouduban Delémont claudeboudu@bluewin.ch
»


@Ph.L. 29.12.2021 | 13h15

«Texte salutaire et résolument authentique (au milieu de tous ces tartuffes!), quels que soient ses éventuelles incorrections anarchisantes : dans les miasmes actuels, un puissant courant d'air frais! La liberté guidant le peuple, ou peu s'en faut - de fait, le désir est bien là, le désir d'exister, enfin...
Pour ma part, Madame, et je vous prie de me le pardonner, je tombe immédiatement amoureux, vrai... Bon, je l'étais peut-être déjà, reconnaissons-le : votre voix, oui...»


@Astromeria 31.12.2021 | 00h45

«Merci à Symphonie, Lucie Faure et Laboudu pour leurs réponses éclairées et circonstanciées. Je suis entièrement d’accord avec vous !»


@Elizabeth 01.01.2022 | 09h59

«Très étonnée et très déçue que BPLT publie un article pareil, délire totalement indigeste mais surtout droit sorti de la mouvance QAnon. »


@fordzon 03.01.2022 | 16h45

«

J'ai lu le début de votre article avec attention. Je me suis longtemps dit mais où veut-elle en venir ? Vous avez pris beaucoup de place pour dire énormément de choses, sans jamais essayer de dire quelque chose de nouveau, ni de structuré autrement qu'en superficie. Vous semblez avoir passé en revue toutes sortes d'idées mais j'ai bien peur que peu des choses que vous avez dites m'aient convaincu, ni apporté quelque chose. Est-ce à cause du style "brouillon-rapide" de votre texte? L'insatisfaction quant à la "matière" de votre texte m'a contraint à sauter à votre conclusion où je n'ai pu malheureusement lire que des choses peu intéressantes, voire contradictoires. Vous avez apparemment hésité entre la raison et la révolte, et la révolte a manifestement triomphé. A tout vous dire, je ne comprends pas vraiment qu'on vous a laissé cette place sur "Bon pour la tête ». En tous les cas, votre écrit n'a pas été bon pour la mienne... Les jeunes qui veulent gueuler on les laisse gueuler pour qu'ils ne fassent pas de bêtises en dépensant leur énergie autrement, par exemple en exprimant le ras-le-bol en essayant de démolir les institutions? Du style "attaque du Capitole de Washington"? Je suis étonné par votre manque de retenue et de modestie. N'est-ce plus à la mode de se demander ou d'avouer que l'on ne sait pas tout ? Pour arriver à démontrer qu'on est capable de faire le tour de toutes la problématique au galop ? Les problèmes actuels sont encore plus difficile qu'il y a 40 ans quand j'étais jeune, mais ce n'est pas une raison pour les galvauder de cette manière. La révolte exige qu'on présente de vraies raisons de se révolter, car selon moi elle introduit une certaine violence dans le débat public, violence qu'y ne devrait pas y avoir de place, si l'on veut préserver la démocratie. Elle doit être justifiée et argumentée. Dommage que l'écrit ne vous ait pas permis de rendre vos paroles plus posées. Beaucoup de lecteurs semblent avoir mis votre coup de gueule sur le compte de l'expression de votre ras-le-bol. N'auriez-vous pas dû vous relaxer devant "Les bronzés font du ski" avant de lâcher votre fiel de cette manière ? Je veux bien qu'on donne à la jeunesse l'excuse de sa fougue, il n'empêche que la fougue, si elle veut devenir une force constructive, devrait se tenir en laisse. Mais vous avez peut-être essayé de le faire... N'auriez-vous pas dû parler directement de vos émotions plutôt que d'intellectualiser vos angoisses ? Bien a vous.

»