Culture /
Incardona peint en très noir un monde qu’il rêve meilleur
Après Joël Dicker, Quentin Mouron et quelques autres, Joseph Incardona, dans son étonnant dernier roman, «La soustraction des possibles», prouve que l’on peut jouer avec les codes et stéréotypes du roman noir ou du thriller d’investigation sociale sans se détourner d’un certain héritage culturel ou littéraire romands, au point de nous faire croire qu’une mafieuse corse puisse s’enticher follement des romans de Ramuz, entre autres intuitions prometteuses…
Jean-Louis Kuffer