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Chronique / Avec Nerval dans le Valois
Rendant hommage à Gérard de Nerval dans le Mercure de France, Guillaume Apollinaire le qualifie d’«esprit charmant » et ajoute, «je l’eusse aimé comme un frère.» Ce cri du cœur, je pourrais le faire mien. Nerval figure en effet parmi ces très rares écrivains et artistes pour lesquels, par-delà l’œuvre, j’éprouve quelque chose de plus que de l’admiration, une forme d’affection. Sentiment que je retrouve chaque fois que je relis Les Filles du feu. En particulier Sylvie, qui prend pour cadre ce Valois si cher à l’auteur. Lire la suite...
Raphaël Aubert, écrivain
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