
Jeudi 10 août. On profite des quelques rayons de soleil qui percent timidement les nuages pour se baigner dans
le Lac Majeur. Espérons que le beau temps reste au rendez-vous. © Lucien Monot

Mercredi 2 août. En voiture, sur la route de Locarno. Un paysage de montagnes, l'odeur des sapins et bientôt,
le lac et les palmiers. © Lucien Monot

Jeudi 3 août. Promenade à travers les nombreuses chaises léopard de la Piazza Grande à Locarno.
Les couleurs du festival s'affichent à mesure que j'avance sur la place. Ce soir premier film sur écran géant
avec Fanny Ardent, sous les étoiles.
© Lucien Monot

Vendredi 4 août. C'est le matin, ou plus précisément 10h45. Je me laisse tenter par une petite baignade matinale
avant de partir voir quelques courts-métrages. Belle vue sur les courbes de Locarno. Le lac quant à lui
se remplit de baigneurs qui tentent, eux aussi, de fuir la chaleur. © Lucien Monot

Samedi 5 août. Entre un polar danois et un Almodovar, on se laisse tenter par quelques balades dans les ruelles
de Locarno, à la recherche d'ombre et d'images. © Lucien Monot

Dimanche 6 août. Une poignée de minutes avant la projection de «Grandeur et décadence d'un petit commerce
de cinéma» de Jean-Luc Godard, sous l'orage. Après quelques jours de grandes chaleurs,
les grosses gouttes de pluie n'auront pas raison de nous (espérons)... © Lucien Monot

Lundi 7 août. Entre excitation et anxiété avant la projection des «Histoires Vraies» en début d'après-midi!
Voici d'ailleurs un petit avant-goût statique flottant sur l'eau. © Lucien Monot

Mardi 8 août. Marie et Nathan dans les salles de projections obscures du festival. On profite pour faire les pitres et prendre un ou deux clichés quelques minutes avant «Poison», en présence du réalisateur américain Todd Haynes.
© Lucien Monot

Mercredi 9 août. La pluie tombe toujours. Photo avec Céline, l'ingénieure son
des «Histoires Vraies». Un public de plus en plus nombreux pour assister
aux projections de films. On se réfugie donc dans les cafés. © Lucien Monot
P résent au Festival pour son film «Histoires vraies», le jeune réalisateur vaudois, nous envoie chaque jour un polaroïd de la Piazza Grande ou d'ailleurs.
A lire: Lucien Monot: entre amour du réel et vœux d’imaginaire, par Valentina San Martin

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